« Faire école, un sport de combat » COMPLET !!!

CGé vous propose une après-midi de travail en deux temps :
 Des ateliers où on tentera de faire des liens entre nos terrains et les analyses de Jacques Cornet publiées dans la revue TRACeS de ChanGements ;
 Une conférence de Philippe Meirieu « L’urgence de la construction du collectif à l’école… ».

Infos pratiques

 21 novembre 2015, de 13 h 30 à 19 h
 Cette journée est destinée aux acteurs de l’école, à ceux du monde éducatif et associatif.
 Évènement gratuit
 HELMo Hors-Château, n° 61 - 4000 Liège

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Horaire
 13h30 : Accueil

 14h00 : Introduction

 14h30 : Ateliers : (Vous y serez répartis par nos soins)
Atelier 1 « On choisit pas ses parents »
Avec un marqueur écrire son enfance sur un T-shirt, avec le recto parental faire deviner le verso de l’ado, en parlant avec les autres se poser des questions, en lisant Jacques Cornet préparer le biberon, en transpirant typologiser.

Atelier 2 « Hautes tensions »
L’école en général et chaque enseignant en particulier sont traversés par des contradictions. Nous vous proposons de relever et de mettre en schéma certaines des tensions qui traversent l’école.

Atelier 3 « Une grosse baffe »
Une maman gifle son enfant devant vous. Comment réagiriez-vous ? Rien à voir avec les sciences humaines ? Chiche !

Atelier 4 « Le seul ordre social légitime est celui que l’on construit ensemble » J. Cornet
Dans des récits de pratiques de Pédagogie institutionnelle, il s’agira de relever ce qui nous parle d’ordre social démocratique à élaborer dans les classes et d’établir des liens avec nos terrains.

 17h00 : Pause conviviale

 17h30 : Conférence de Philippe Meirieu
« L’urgence de la construction du collectif à l’école… »
Actuellement, des voix s’élèvent pour dire l’importance de l’apprentissage du « vivre ensemble » à l’École. L’école ne pourra pas, à elle seule, reconstituer le lien social, mais cela ne doit pas nous empêcher de travailler à l’élaboration d’outils pédagogiques pour construire de véritables « collectifs », capables non seulement de « vivre ensemble », mais de « faire ensemble société », des collectifs qui donnent à chacun une place et un projet à tous, qui permettent de faire l’expérience de la solidarité et de l’autorité légitime, et ce, à tous les étages de l’institution scolaire.