Dans le cadre de notre formation, nous avons des projets collectifs verticaux, c’est-à-dire les trois années ensemble (PCV), avec, pour chacun des projets, différents thèmes.
En effet, nous nous étions fixé une échéance assez courte pour réaliser cette exposition et, n’ayant jamais réalisé une exposition de cette ampleur, la collaboration et la motivation étaient nos principales ressources.
« … La motivation était là, mais la fatigue gagnait du terrain, nous devions impérativement terminer cette exposition, le vernissage approchait à grands pas. Tous ensemble, après avoir murement réfléchi, nous avons décidé de finaliser l’exposition lors d’une nuit longue, mais pleine de collaboration, d’aide et d’enthousiasme. Cette nuit commença en fureur, nous étions tous pleins d’énergie et d’envie de finaliser l’exposition. Chacune des personnes avait bien sûr une tâche définie, mais ce n’est pas ça qui allait arrêter les troupes. L’entraide était plus que présente, si l’on avait fini sa tâche, on aidait les autres groupes et même avec une fatigue qui nous quêtait de plus en plus, nous avons tenu bon… Ensemble ! »
Grâce à cette exposition, la collaboration au sein de notre groupe a définitivement pris une place importante dans notre quotidien. La force et la volonté de se soutenir, même dans les moments les plus difficiles sont là. Il est vrai que lors de tel(s) projet(s), la collaboration entre nous est vitale et elle l’est aussi pour tout autre projet ou travail. La collaboration vise donc à améliorer la vie d’un groupe, d’une classe ou d’une salle des professeurs.
La collaboration n’est-t-elle pas un moyen d’être plus efficace ?
Ici ça n’est plus une question, mais une affirmation, nous mettons tout en œuvre pour que la coopération fasse partie de notre quotidien et cela même s’il est toujours nécessaire de pouvoir prendre du recul et s’auto évaluer sur son propre travail.
Le travail d’une personne peut être riche, mais le travail de dix personnes peut être dix fois plus riche.